Inspirée du mythe, de la légende urbaine, je mets à nu la célèbre bête du Gévaudan. Le côté imaginaire de cette histoire se voit heurté par l’étude précise et chirurgicale de ma planche. J’ouvre mon imaginaire aux spectateurs et je pose le doute de son existence. La bête est présente dans notre esprit.
Fanny Gillequin
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