dimanche 26 février 2012

Les trous noirs de la mémoire urbaine


A partir d'une recherche aux archives, je me suis rendue compte qu’il n’existait pas de cartes de Montpellier entre le cadastre napoléonien (entre 1807 et 1838) et les cartes d’Etat Major, les plus récentes datant de 1907.

Si la répartition des bâtiments de l’Ecusson a peu évolué durant cette période, il en est autrement pour le cadastre et le vécu de ces lieux. Comment construire alors une mémoire collective ?

Comme s’il s’agissait d’une maladie neuronale, l’animation vidéo proposée présente le cadastre de 1807, centré sur l’Ecusson, progressivement dévoré aléatoirement et irrémédiablement par ces « trous noirs de la mémoire urbaine».


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